Nous venons tous et toutes du ventre d’une mère, cette chair première qui nous forge. C’est peut-être bien la seule chose que nous avons en commun sur cette planète ! La puissance du lien maternel est fascinante, bouleversante. Autant que la violence de la mort. Toute la vie, Julie a adoré sa mère. Toute la vie, son ami haïtien a adoré la sienne. Comment traverser le mur opaque de la mort lorsqu’elle arrive ? Les merveilleuses nous font voyager de la maternité à la féminité, de l’existence à la mort, en passant par l’innocence de l’enfance et la plus grande peine d’amour à vie. C’est un pèlerinage sur la route de nos mères et de la flore des femmes qui composent le monde.
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